GAPHRSM
   

 

 
  • photos prise lors de la journée d’échanges sur l’accessibilité universelle et l‘action municipale
  • Photo d'un homme en chaise roulante au parc
  • Photo d'un enfant qui saute joyeusement
  • Photo de groupe lors du 35ieme anniverssaire du GAPHRSM
  • Photo de Pauline Couture, directrice du GAPHRSM, lors du 35ieme anniverssaire
  • Photo cahier special : Étapes de la vie et déficience intellectuelle
  • Photo d'une femme avec un handicap visuel qui se promene dans un parc avec son chien guide.
 

Communications

Semaine québécoise de la déficience intellectuelle

9 mars 2012

 

Les droits

 

Les droits

 

Pour vivre «À part entière», il nous faut créer un monde où les personnes ont les mêmes droits, sans discrimination ni privilèges de façon équitable et juste pour tous. De plus, exercer pleinement et entièrement leur contribution sociale et leur qualité d’être humain et ce, comme tout citoyen.

 

Un monde où les incapacités d’une personne ne sont plus des obstacles mais une expérience à la différence. Pour cela, il suffit de lui permette d’actualiser ses passions, de vivre parmi sa communauté et d’avoir des rapports sociaux ouverts.  Il faut également respecter ses intérêts et tenir compte de ses besoins particuliers.  

 

Heureusement, notre société a reconnu qu’une partie de sa  population était davantage fragilisée dans le respect de ses droits et libertés. La loi assurant l’exercice des droits des personnes handicapées en découle.

 

De plus, il y a eu, depuis plus de trois ans, l’adoption de la politique « À part entière».  Cette politique projette une vision d’un monde meilleur, un monde où les limitations et incapacités d’une personne ne sont plus des obstacles pour exercer pleinement sa contribution sociale.

 

Est-ce qu’on en y sera en 2019?  C’est là l’échéance que s’est donnée notre société pour atteindre son objectif d’une société inclusive! Le changement  est encore peu percevable aux yeux des personnes et des familles. Les personnes et les parents s’essoufflent. Le vivre au quotidien peut être long et ça épuise le plus fort des guerriers.

 

L’exercice des droits ne prend un sens que dans la mesure où les individus formant une collectivité ont le désir de le perpétuer. C’est ce qu’on appelle vouloir vivre ensemble! 

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