GAPHRSM
   

 

 
  • photos prise lors de la journée d’échanges sur l’accessibilité universelle et l‘action municipale
  • Photo d'un homme en chaise roulante au parc
  • Photo d'un enfant qui saute joyeusement
  • Photo de groupe lors du 35ieme anniverssaire du GAPHRSM
  • Photo de Pauline Couture, directrice du GAPHRSM, lors du 35ieme anniverssaire
  • Photo cahier special : Étapes de la vie et déficience intellectuelle
  • Photo d'une femme avec un handicap visuel qui se promene dans un parc avec son chien guide.
 

Sensibilisation/éducation populaire

 

La Semaine de la canne blanche. 

 

Depuis 1947, la première semaine de février est reconnue au Canada comme étant la « Semaine de la Canne Blanche ».

 

Cette semaine vise à démontrer qu’un bon nombre de personnes aveugles ou vivant avec une basse vision mènent une vie active et sont bien intégrées dans la société : des enfants se développent normalement, des jeunes étudient, des adultes travaillent et bon nombre d’entre eux participent à des activités sociales, culturelles et sportives.[1]

 

Saviez-vous que…

 

Les statistiques s’accordent pour dire que les personnes qui n’ont aucune vision, représentent seulement 5 % à 7 % de la population des personnes reconnues comme ayant une déficience visuelle. Certaines d’entre elles peuvent même présenter l’apparence de personnes voyantes lorsqu’elles n’ont pas besoin, dans certains lieux ou certaines circonstances, d’utiliser leur canne blanche.

 

D’autre part, les personnes qui ont un résidu de vision sont désignées comme étant des personnes semi-voyantes, amblyopes, mal voyante ou ayant une limitation visuelle. Quant aux personnes n’ayant aucune vision, sont décrites comme ayant une cécité totale, étant non voyantes ou aveugles.

 

Enfin, certaines personnes non voyantes ou mal voyantes arrivent à fonctionner dans la plupart des différents domaines de la vie active. Par exemple, une canne blanche ou un chien guide peut aider à se déplacer, un film en version descriptive peut permettre d'en saisir les subtilités, le braille et les ordinateurs avec des logiciels d’adaptation peuvent permettent d’assurer la prise de notes ou les communications avec les proches, aux études et en emploi, etc.

 

En résumé…

 

Ne présumez pas du type de déficience d’une personne. Il est clair que l’amblyopie est plus difficile à saisir que la perte de vision totale dans les actions de la personne se retrouvant en situation de handicap. Il n’y a pas deux personnes handicapées visuelles qui voient ou qui fonctionnent de la même manière. Il n’y a donc pas deux personnes qui nécessitent la même approche et la même aide lorsque vous les rencontrer. La principale chose à faire est de demander si votre aide est sollicitée et si oui, de quelle façon vous pouvez aider.

 

Comme-une-vision  est né de la volonté de 12 organismes dans le but de créer une table de communication et de concertation dédiée à sensibiliser le grand public à la perte de vision afin de favoriser l’intégration sociale et l’amélioration des conditions de vie des personnes ayant une déficience visuelle.

 

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